CALSOU Guillaume, CAILLE Jean-David
Villa VUA

Il fallait ici implanter une maison sur un terrain à forte déclivité dont l’accès se situait en contrebas. Pour monter à la maison, on emprunte un petit escalier bordé d’un talus paysagé. En haut, il n’y a plus de rue mais un jardin tranquille, fait d’une pelouse soigneusement taillée et de grands arbres qui font vibrer la lumière du matin. En sortant de l’escalier on est projeté sur le bassin où se reflète la maison. Ici il n’y a pas d’entrée. On est accueilli par l’une des immenses portes de verre coulissantes qui composent presque exclusivement la façade. A l’intérieur, l’oeil est immédiatement attiré par la verrière qui éclaire la cuisine. Le regard traverse la maison. Un demi-tour et l’on découvre tel un tableau le spectacle des collines aux couleurs changeantes, émerveillement de tous les jours.