COMBIS Philippe PEREIRA Patricia Un projet sur la pente
C'est la contemplation qui a inspiré
l’architecte, face aux paysages des
coteaux qui s’offrent à lui.
D’abord perçu comme massif, aux volumes
francs maçonnés et aux lignes soignées,
le projet s’ancre dans la pente. Les parties
de la maison qui émergent, permettent de
retrouver des prolongements directs des
pièces de vie vers l’extérieur.
De l’étage, on perçoit le volume principal
de la maison qui s’agite vers ces paysages
lointains. La double hauteur sous plafond
rend l’espace spacieux et aéré, tandis que
le couloir de nage le transforme en endroit
de détente.
On est dans la légèreté, en balcon aérien sur
le paysage. C’est l’occasion de jouer avec
la transparence, mêler le verre au vert et
s’ouvrir à la lumière. Le verre élégant se fait
l’allié de toute contemplation paysagère.
La maison s’ouvre encore un peu plus sur
le paysage par un volume surplombant la
pente, dans une volonté de tirer les espaces
intérieurs vers l’extérieur.
C’est le paysage qui a enveloppé le projet
; l’architecte en a seulement établi les
déplacements, par ses passages intérieur
extérieur, au rythme des lumières et des
humeurs.
COMBIS Philippe PEREIRA Patricia Un projet sur la pente
C'est la contemplation qui a inspiré
l’architecte, face aux paysages des
coteaux qui s’offrent à lui.
D’abord perçu comme massif, aux volumes
francs maçonnés et aux lignes soignées,
le projet s’ancre dans la pente. Les parties
de la maison qui émergent, permettent de
retrouver des prolongements directs des
pièces de vie vers l’extérieur.
De l’étage, on perçoit le volume principal
de la maison qui s’agite vers ces paysages
lointains. La double hauteur sous plafond
rend l’espace spacieux et aéré, tandis que
le couloir de nage le transforme en endroit
de détente.
On est dans la légèreté, en balcon aérien sur
le paysage. C’est l’occasion de jouer avec
la transparence, mêler le verre au vert et
s’ouvrir à la lumière. Le verre élégant se fait
l’allié de toute contemplation paysagère.
La maison s’ouvre encore un peu plus sur
le paysage par un volume surplombant la
pente, dans une volonté de tirer les espaces
intérieurs vers l’extérieur.
C’est le paysage qui a enveloppé le projet
; l’architecte en a seulement établi les
déplacements, par ses passages intérieur
extérieur, au rythme des lumières et des
humeurs.