Le projet prend pied à Capbreton au bord d’un
chenal capricieux qui mène au port. Derrière
une parcelle boisée de chênes lièges et de pins
maritimes, le terrain de sable est inondable.
Dans cet écrin de verdure il nous parût essentiel de ne
pas trop perturber l’état naturel existant et de construire
entre les arbres de s’inviter entre ces éléments. Autant de
risques, autan de charme !
Le cheminement d’accès y prend une importance particulière
car il semble être le seul marquage qui relie aux
autres dans ce retrait.
L’architecture est presque absente. Réglée dans son
économie et sa sobriété, elle répond simplement aux
besoins de ses occupants, directement, dans cette
immédiateté naturelle.
Le plaisir intérieur ne peut se faire sans nature et chaque
point de la maison invite à ce qu’elle rentre. Il s’agit
d’être perméable et de faire corps avec le lieu, plus que
de construire. Alors quitte à construire, autan le faire
avec plaisir : le plaisir de ce qui semble naturel, simple,
évident, à la portée du commun. Ce plaisir de se présenter
à la nature, de recevoir, et de se donner à voir, d’être à la
proue…
« le bonheur d’un homme qui sent la nature, c’est de la
rendre » Eugène Delacroix 1818.
Le projet prend pied à Capbreton au bord d’un
chenal capricieux qui mène au port. Derrière
une parcelle boisée de chênes lièges et de pins
maritimes, le terrain de sable est inondable.
Dans cet écrin de verdure il nous parût essentiel de ne
pas trop perturber l’état naturel existant et de construire
entre les arbres de s’inviter entre ces éléments. Autant de
risques, autan de charme !
Le cheminement d’accès y prend une importance particulière
car il semble être le seul marquage qui relie aux
autres dans ce retrait.
L’architecture est presque absente. Réglée dans son
économie et sa sobriété, elle répond simplement aux
besoins de ses occupants, directement, dans cette
immédiateté naturelle.
Le plaisir intérieur ne peut se faire sans nature et chaque
point de la maison invite à ce qu’elle rentre. Il s’agit
d’être perméable et de faire corps avec le lieu, plus que
de construire. Alors quitte à construire, autan le faire
avec plaisir : le plaisir de ce qui semble naturel, simple,
évident, à la portée du commun. Ce plaisir de se présenter
à la nature, de recevoir, et de se donner à voir, d’être à la
proue…
« le bonheur d’un homme qui sent la nature, c’est de la
rendre » Eugène Delacroix 1818.